Par amour de l’escalade et rejet du consumérisme, Charles Albert vit depuis 2018 dans une grotte planquée dans la forêt de Fontainebleau, non loin des rochers qu’il affectionne. À 25 ans, cet athlétique timide se nourrit essentiellement de pain, grimpe pieds nus les blocs les plus ardus au monde et voue son existence à en ouvrir d’encore plus difficiles.
Charles va nus pieds
Par amour de l’escalade et rejet du consumérisme, Charles Albert vit depuis 2018 dans une grotte planquée dans la forêt de Fontainebleau, non loin des rochers qu’il affectionne. À 25 ans, cet athlétique timide se nourrit essentiellement de pain, grimpe pieds nus les blocs les plus ardus au monde et voue son existence à en ouvrir d’encore plus difficiles.
Par amour de l’escalade et rejet du consumérisme, Charles Albert vit depuis 2018 dans une grotte planquée dans la forêt de Fontainebleau, non loin des rochers qu’il affectionne. À 25 ans, cet athlétique timide se nourrit essentiellement de pain, grimpe pieds nus les blocs les plus ardus au monde et voue son existence à en ouvrir d’encore plus difficiles.
Charles va nus pieds
Par amour de l’escalade et rejet du consumérisme, Charles Albert vit depuis 2018 dans une grotte planquée dans la forêt de Fontainebleau, non loin des rochers qu’il affectionne. À 25 ans, cet athlétique timide se nourrit essentiellement de pain, grimpe pieds nus les blocs les plus ardus au monde et voue son existence à en ouvrir d’encore plus difficiles.